Lors du dernier week-end de formation IPHI fin juin nous avons fabriqué notre bâton de pouvoir. Il s’agissait d’un processus créatif pour mettre dans la matière l’année et demi d’apprentissage en psychospiritualité. Qu’allions nous inscrire dans ce bâton, comme intentions, énergies et symboles ? Pour agir désormais dans nos vies.
J’y ai mis pour ma part, mon attention profonde et mon engagement à faire. J’y ai mis la profondeur et la légèreté, les couleurs de la douceur et de la lumière. La géométrie sacrée et l’espace du rien. J’y ai mis ma créativité, mon histoire avec les fils tressés, les nœuds, les perles et l’aléatoire. Je l’ai couronné d’une fourrure pour me tenir chaud dans les moments difficiles.
Et puis, quelques heures après, lorsque je l’ai regardé à nouveau, j’ai vu que j’avais crée un bâton qui ressemble beaucoup à un micro ! Mon âme m’a joué cette petite farce. Les âmes sont joueuses et aiment nous faire sourire. Alors, je n’ai plus qu’à chanter encore et encore…
J’ai lu il y a quelques jours que dans la langue des Kagaba qui est un peuple de Colombie, le mot « pouvoir se dit kuamaldé. Littéralement cela signifie prendre soin de tout ce qui est vivant selon les lois spirituelles des origines et signifie aussi guérison.
J’aimerais désormais faire grandir aussi en moi ce pouvoir, ce kuamaldé.
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